Gwendoline Pieters Peinture contemporaine

Gwendoline PIETERS

Blog

Invitation Vernissage de l'exposition "Cassis, vue sur mer"

Ajouté le 22 févr. 2023



J’ai le plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition :


« Cassis, vue sur mer »


Le vendredi 28 avril 2023 à partir de 19h 

aux Salles Voûtées, Cour d’honneur de l’Hôtel de Ville,13260 CASSIS.


Pour cette exposition, je ferai mienne la citation d’Henri Matisse :
“La couleur surtout et peut-être plus encore que le dessin est une libération.”


Du 29 avril au 14 mai 2023, de 11h à 19h.


Atelier Gwendoline Pieters 22, rue Séverin Icard 13260 Cassis



Renseignements : 0628901400 ou 0615070895

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Défiscalisation des œuvres d’art

Ajouté le 19 mars 2022

Profiter d’une défiscalisation via l’achat d’œuvres d’art


L’achat d’œuvres d’art figure parmi les moyens de bénéficier d’une défiscalisation. Les foyers soumis à l’ISF sont les plus avantagés dans ce régime. Les personnes aux salaires plus modestes reçoivent aussi un avantage fiscal dans cet achat et il est perçu sur la plus-value au moment de la vente ou de la transmission en héritage.

Pour une entreprise, il est avantageux d’investir dans les œuvres d’art, pour profiter d’une réduction plus ou moins importante. Pour les particuliers, notamment ceux soumis à l’ISF, l’acquisition de ces types de biens ouvre également droit à une défiscalisation intéressante, puisqu’elle permet de réduire le montant du revenu imposable, suivant une certaine limite imposée par le dispositif, et se créer un patrimoine.


Le principe

 

L’achat d’une œuvre d’art peut est très avantageux fiscalement pour les entreprises, mais également, pour les particuliers. En effet, pour un contribuable fortement imposé, l’acquisition d’une œuvre d’art ouvre droit à des réductions d’ISF, ou Impôt sur la Fortune. Le montant de l’œuvre est déduit de celui entrant dans le calcul de l’Impôt sur la Fortune.

Outre la réduction de l’ISF, les contribuables bénéficient de quelques avantages non négligeables au niveau des plus values. Ils peuvent choisir entre une taxation des plus-values de l’ordre de 5% de la valeur de ces dernières ou d’opter pour une imposition normale de 27% et de profiter d’un abattement de 10% chaque année, après deux ans de possession de l’œuvre.

Pour une entreprise

Lorsqu’une entreprise investit dans l’art, elle peut bénéficier d’une réduction d’impôt à condition d’exposer les œuvres au public. L’abattement est fait sur l’exercice d’acquisition durant les quatre années suivantes. L’œuvre sera alors inscrit en tant qu’actif immobilisé sur ces quatre ans et la somme sera fractionnée en part égale sur une limite de 5 pour mille du chiffre d’affaire hors taxe.

Afin de bénéficier de cet avantage fiscal, la contrepartie est l’exposition en public des œuvres durant les cinq années suivant l’acquisition. Lorsque le prix de l’œuvre est inférieur à 5000€ HT, cette condition d’exposition peut être assurée par la présentation de l’œuvre dans un lieu accessible aux clients et aux salariés de l’entreprise, sauf les bureaux personnels.


Les règles de déduction selon chaque cas

 

Les déductions seront immédiatement réintégrées quand l’œuvre est cédée ou prélevée sur le compte de réserve. Cette déduction ne nécessite aucune autorisation préalable de l’administration et lorsque l’entreprise la pratique, sa déclaration doit être faite sur un modèle de document de l’administration. Lorsqu’il y a cession, le bénéfice est soumis aux régimes des plus-values professionnelles. C’est-à-dire qu’il y a une imposition à taux réduit au delà de deux ans de possession.


Pour les particuliers

 

Pour les particuliers, l’art est un domaine avantageux en termes de défiscalisation. Le premier avantage est la réduction de l’ISF. Le prix de l’œuvre est déduit du calcul de l’assiette ISF. La taxation sur les plus-values est au choix: soit 5% de la valeur, soit une taxation normale de 27% avec un abattement de 10% par an après deux années de possession.

Pour les successions, les œuvres d’art peuvent être inclues dans le forfait des 5% de meubles meublants. D’autre part, les œuvres d’art peuvent être proposées en tant que titre de payement des droits dus (paiement en dation).

 

 

Les conditions pour obtenir une défiscalisation via l’achat des œuvres d’art

 

Pour l’année 2014, aucun véritable changement n’a été apporté sur le dispositif de défiscalisation des œuvres d’art. L’objectif de la loi de défiscalisation étant toujours d’inciter la création contemporaine et non d’enrichir les collections publiques, elle oblige les entreprises ayant investi dans les œuvres d’art, d’exposer celles-ci au public pour une durée de 5 ans minimum et permet aux sociétés de déduire le montant de l’acquisition de leur chiffre d’affaires, dans la limite de 0.5 % de leurs CA.

Les conditions d’exposition diffèrent en fonction du prix du bien. Pour les œuvres achetées à u montant inférieur à 5 000 € HT par exemple, l’exposition doit être effectuée dans un endroit accessible aux clients ou aux salariés de l’entreprise.

Concernant les particuliers, l’exposition n’est pas obligatoire et le dispositif prend en compte différents types d’œuvres d’art, tels que des bibelots, des meubles anciens, des tapisseries ou des tableaux.

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Les calanques dans la peinture

Ajouté le 2 juil. 2021

Les Calanques dans la peinture

De la grotte Cosquer à l’art moderne

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Barques dans la calanque de Sormiou, par Joseph Inguimberty

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Route de la Gineste, 1859, par Paul Guigou © Musée d’Orsay / RMN – photographie Anthony Zec

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La mer et la roche, désertées ou peuplées de pêcheurs, de pâtres et d’animaux, offrent une variété infinie de motifs et de tons. Ces sujets sont rehaussés, et même glorifiés, par une lumière qui a marqué l’histoire de l’art mondial. Tour d’horizon en compagnie de quelques maîtres de la palette.

 

Du paléolithique au néo-classique

Tout commence avec la grotte Cosquer, où les premiers hommes représentent les animaux s’ébattant jadis sur le territoire du Parc national : chevaux, bouquetins, cerfs, bisons… Les décors animaliers se poursuivent avec les peintures antiques et médiévales. Puis c’est le temps des marines et des représentations navales, dont le chef de file est Joseph Vernet. Les vues du terroir émergeront avec le siècle des Lumières et les premières bastides, en particulier dans les œuvres de Constantin d’Aix : précurseur de la peinture provençale, il sera le maître de Granet.

Suivront Paul Flandrin, l’un des meilleurs paysagistes classiques, élève d’Ingres, qui peint Marseilleveyre et l’île Maïre – et surtout Pierre Puvis de Chavannes. Sa fresque Marseille, colonie grecquemontre la ville se construire à partir de la roche extraite localement, comme une image allégorique de la pierre de Cassis qui a notamment servi à bâtir les rues de la cité phocéenne…

 

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Les écoles provençale et marseillaise

Ils sont pour la plupart passés par les Beaux-Arts de Marseille, et les plus célèbres se nomment Émile Loubon (que l’écrivain Joseph Méry appelle « le peintre géologue de notre Midi »), Jean-Baptiste Olive, Paul Guigou, Vincent Courdouan. Citons aussi Raphaël Ponson, le « peintre des Calanques », et Joseph Garibaldi, qui fréquente La Ciotat, invité par la famille Lumière. Leur peinture, éblouissante, nous offre des paysages panoramiques, dans une manière solaire, contrastée, entre naturalisme et romantisme.

La visée de ces écoles est plus esthétique que documentaire, bien que, dans certaines toiles, les paysages sont reconnaissables et les pratiques (halieutiques et pastorales surtout) bien décrites. Mais Loubon n’hésite pas à augmenter la hauteur des collines, Guigou à les rendre plus chaotiques encore, Olive à réinterpréter les couleurs de la pierre.

Alors que la photographie se démocratise, le projet de ces artistes est multiple : évoquer la beauté et l’esprit des lieux, étudier les métamorphoses de la lumière au contact de la matière, et faire naître des sensations contradictoires face à cette nature aussi apaisante et accueillante qu’indomptable et sauvage. En bref : poétiser le paysage. Cela semble d’autant plus nécessaire que c’est l’époque où l’urbanisation et l’industrie commencent à gagner du terrain, et mettent la nature en péril.

Les peintres de cette période sont majoritairement locaux. Mais une première gare a été construite à Marseille en 1848 et, dix ans plus tard, le train arrive à Cassis et La Ciotat. L’ouverture de la ligne PLM facilite, à la suite de Cézanne, originaire d’Aix-en-Provence, la descente des artistes vers le Sud. Symbole de ce rayonnement, Jean-Baptiste Olive et Raymond Allègre décorent de marines la gare de Lyon à Paris.

Mais les peintres modernes voudront s’émanciper des académies, et les paysages calanquais vont jouer un rôle considérable dans l’avènement de cette révolution artistique.

 

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De la révolution cézanienne au cubisme

Cette nouvelle génération va dépasser l’impressionnisme, que l’un de ses précurseurs, Félix Ziem, avait déjà irisé de soleil. L’atmosphère et la lumière provençales bouleversent les conceptions chromatiques. Après Stendhal qui s’étonnait en 1837 de la transparence de l’air, c’est surtout Paul Cézanne qui écrira en 1876 : « Le soleil est si effrayant qu’il me semble que les objets s’enlèvent en silhouette non pas seulement en blanc ou noir, mais en bleu, en rouge, en brun, en violet. Je puis me tromper, mais il me semble que c’est l’antipode du modelé. » Le « père de l’art moderne » peindra des toiles mondialement connues, où le massif de Marseilleveyre vient équilibrer les compositions.

À partir de 1906, la région devient un foyer de recherches picturales. Georges Braque y séjourne et radicalise les principes esthétiques de Cézanne. D’abord héraut du fauvisme, il fonde avec Picasso le cubisme, ce courant qui n'aurait peut-être pas vu le jour sans cette lumière si typique qui découpe les formes avec une précision géométrique… Plus tard, c’est Francis Picabia qui dessinera des arbres cubistes à Cassis.

 

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L’explosion des formes et des couleurs

Si Van Gogh désirait venir dans le Sud, c’était pour y rencontrer Adolphe Monticelli, dont il admirait l’usage du jaune et la technique au couteau et en pleine pâte. Il écrivait même qu’il voulait « continuer son œuvre », comme s’il était « son fils ou son frère »…

Toutes ces nouvelles façons de voir et de peindre vont transfigurer le paysage provençal : idéalisé, déstructuré, bigarré, il acquiert une vie et une folie jamais vues jusqu’alors sur une toile. On y voit même apparaître des nymphes et des plantes exotiques, exaltées à la manière orientaliste.

Les Calanques sont alors représentées par les plus importants courants post-impressionnistes :

Le fauvisme est investi, en même temps que Braque, par André Derain, Raoul Dufy, Charles Camoin, Henri Manguin, René Seyssaud et Othon Friesz : ce dernier nous livre des toiles fascinantes du bec de l’Aigle et de Figuerolles.Le pointillisme est incarné par Paul Signac et Henri Person, qui parcourent la côte sur leur voilier : le Sinbad. À Cassis, Signac écrira dans une lettre à Van Gogh datée du 12 avril 1889 : « Du blanc, du bleu, de l’orange, harmoniquement dispersés dans de jolis mouvements de terrain. Notre vert Véronèse et notre bleu de cobalt sont de la merde à côté de ces flots méditerranéens ».Le symbolisme, porté par Puvis de Chavannes, est continué par Lucien Lévy-Dhurmer et Jean Francis Auburtin.Enfin, David Dellepiane est un touche-à-tout : il représentera les pratiques agro-pastorales et accèdera à la renommée avec son affiche commémorant le 25e centenaire de la fondation de Marseille.

D’autres se placent dans ce sillage, avec notamment Winston Churchill, qui fut aussi un peintre estimé ! Il est l’élève de Louis Audibert, lui-même ami d’Albert Marquet, de Moïse Kisling et de Louis-Mathieu Verdilhan, qui ont tous peint Marseille et ses alentours.

 

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Tradition et modernité

Les affiches de tourisme des années 1920-1930 s’empareront de ces innovations graphiques, vantant les charmes de Cassis, de La Ciotat et du littoral méditerranéen, sous le pinceau d’Albert Duvernoy ou de Julien Lacaze, remis au goût du jour par Richard Zielenkiewicz.

À Cassis, l’artiste et philanthrope américain Jerome Hill, le fondateur de la Fondation Camargo, reproduira les paysages calanquais dans de nombreuses peintures. Les révolutions picturales se poursuivront tout au long du siècle avec les rochers stylisés de Jean Dubuffet, les toiles saturées de Pierre Ambrogiani (ami de Pagnol et de Giono) et de Georges Briata, les paysages sensibles de Joseph Inguimberty, ceux du peintre-alpiniste Ange Abrate, et la naissance de l’art contemporain avec Vincent Bioulès. Et aujourd’hui, de nombreux artistes locaux perpétuent ces traditions, telles Gwendoline Pieters ou Marie-Laure Sasso-Ladouce

 

« Le travail ne va pas, mais pas du tout. Le pays est trop beau. »

André Derain à Cassis, Lettre 72 à Vlaminck

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Invitation

Ajouté le 4 juil. 2020

J'ai la joie de vous inviter à visiter cette exposition rétrospective, intitulée :


«Trente ans de peinture sous la lumière de Cassis »


Pour cette exposition, je ferai mienne la citation de Marc Chagall :

 "Si toute vie va inévitablement vers sa fin, nous devons durant la nôtre, la colorier avec nos couleurs d'amour et d'espoir".

Du  17 au  26 juillet 2020 de 10H à 20H aux salles voûtées,

Cours d’honneur de l’hôtel de ville

13260 CASSIS


Le vernissage se déroulera

le samedi 18 juillet à partir de 19H.


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30 ans de peinture sous la lumière de Cassis

Ajouté le 28 mai 2020

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J'ai la joie de vous inviter à visiter cette exposition rétrospective, vu les circonstances actuelles je ne pourrai pas organiser de vernissage, pour l'instant ce n'est pas autorisé, mais je vous tiendrai au courant si la situation s'améliore.

 L'exposition se tiendra aux Salles voûtées, cours d'honneur de l'hôtel de ville à Cassis du vendredi 17 juillet au Dimanche 26 juillet 2020.

Pour cette exposition, je ferai mienne ces deux citations de Marc Chagall : 


"Celui qui possède la couleur crée une seule religion, la religion de l'amour et de l'humanisme"
et
"Si toute vie va inévitablement vers sa fin, nous devons durant la nôtre, la colorier avec nos couleurs d'amour et d'espoir",
sachant que pour moi la peinture est un moyen de transformer ma perception de ce qui m'entoure par la couleur et son exploration constante.


Seront également présentées mes dernières oeuvres dans une suite chronologique.

En attendant, vous pouvez toujours passer me voir dans mon atelier au centre du village ou sur mon site:
www.gwendoline-pieters.com
Atelier Gwendoline Pieters 22, rue Séverin Icard 13260 Cassis
Mail:gwendolinepieters@icloud.com Tél: 0628901400

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Ajouté le 22 sept. 2019

Rappel Invitation Vernissage ce samedi 18 mai

Ajouté le 15 mai 2019

            

L’Atelier Gwendoline PIETERS

vous convie au vernissage de L’exposition :


« Couleur, lumière et rondeur » Samedi 17 mai 2019, de 18H à 22H

           

ATELIER 22, rue du Docteur Séverin Icard 13260 CASSIS

           

Horaires du mardi au samedi de 10h30 à 13h et de 16h à 19h

 Contact : +33 (0)6 28 90 14 00 / www.gwendoline-pieters.com

           

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Ajouté le 15 nov. 2017

L’Atelier Gwendoline PIETERS

 vous présente

 ses meilleurs voeux pour l’année 2018.

A cette occasion, l’artiste vous convie à un

  GÔUTER VERNISSAGE

Dimanche 3 décembre 2017, de 15H à 19H

 

ATELIER   

22, rue du Docteur Séverin Icard

13260 CASSIS 

 www.gwendoline-pieters.com

Horaires: du mardi au samedi de 10h30 à 12 h30 et de 16H à 19h30, 

Contact : +33 (0)6 28 90 14 00 

les prix des toiles sont affichés dans la galerie intitulée "Toute les toiles disponible à la vente.

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GOÛTER VERNISSAGE

Ajouté le 15 nov. 2017

L’Atelier Gwendoline PIETERS

 vous présente

 ses meilleurs voeux pour l’année 2018.

A cette occasion, l’artiste vous convie à un

  GÔUTER VERNISSAGE

Dimanche 3 décembre 2017, de 15H à 19H

 

ATELIER   

22, rue du Docteur Séverin Icard

13260 CASSIS 

 www.gwendoline-pieters.com

Horaires: du mardi au samedi de 10h30 à 12 h30 et de 16H à 19h30, 

Contact : +33 (0)6 28 90 14 00 

 

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Ajouté le 29 nov. 2016

 

BoNHeUR, JoIEs et CouLeURs pour 2017»

L’Atelier Gwendoline Pieters vous souhaite une très belle année. A cette occasion vous êtes conviés à un

«GôuTEr VeRniSSaGe» Dimanche 18 décembre 2016, de 15H à 19H.

ATELIER 22,rueduDocteurSéverinIcard13260CASSISwww.gwendoline-pieters.com Horaires: du mardi au samedi de 10h30 à 12 h30 et de 16H à 19h30, Contact : +33 (0)6 28 90 14 00 

http://www.artmajeur.com/medias/thumb/g/w/gwendolinepieters/artwork/9593371_calanque-d-22en-vau-cassis-200x100cm.jpg

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